16 février 2009
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Rongeur aquatique (Castor canadensis et Castor fiber) de grande taille (90 cm queue comprise, 30 kg), à la fourrure serrée, brune, fort recherchée, aux pattes postérieures palmées, à large queue écailleuse.
Le castor vit dans toutes les forêts de la zone boréale tempérée. Il creuse dans les berges des rivières une galerie dont une extrémité débouche sous l’eau et l’autre dans une chambre souterraine, où il niche. Lorsque le cours d’eau est trop irrégulier, il construit un barrage pour maintenir le niveau d’eau au-dessus de l’entrée du terrier; lorsque les berges sont inutilisables, il édifie dans l’eau une butte de terre et de branchages dans laquelle il creuse son terrier. Ce comportement de constructeur, instinctif, n’est pas altéré par la captivité.
L'oeuvre des castors, logiquement nous ne devrions pas être en présence de ce type d'animal, leur présence dans le Dourdou est constatée depuis seulement quelques années.
Nous avons aussi des ragondins depuis plus longtemps, eux s'attaquent aux berges, creusant de nombreuses galeries, qui débouchent dans les parcelles en bordure de la rivière, sur lesquelles ils s'alimentent (luzerne, mais...)
Tout porte à penser que ces animaux ne sont pas arrivés de par leur propre moyen.
Le castor vit dans toutes les forêts de la zone boréale tempérée. Il creuse dans les berges des rivières une galerie dont une extrémité débouche sous l’eau et l’autre dans une chambre souterraine, où il niche. Lorsque le cours d’eau est trop irrégulier, il construit un barrage pour maintenir le niveau d’eau au-dessus de l’entrée du terrier; lorsque les berges sont inutilisables, il édifie dans l’eau une butte de terre et de branchages dans laquelle il creuse son terrier. Ce comportement de constructeur, instinctif, n’est pas altéré par la captivité.
L'oeuvre des castors, logiquement nous ne devrions pas être en présence de ce type d'animal, leur présence dans le Dourdou est constatée depuis seulement quelques années.Nous avons aussi des ragondins depuis plus longtemps, eux s'attaquent aux berges, creusant de nombreuses galeries, qui débouchent dans les parcelles en bordure de la rivière, sur lesquelles ils s'alimentent (luzerne, mais...)
Tout porte à penser que ces animaux ne sont pas arrivés de par leur propre moyen.
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